mercredi 27 février 2013

Elizabeth II, le Pape Benoit XVI et le Premier Ministre du Canada: coupables de crimes contre l'humanité par le Tribunal International sur les Crimes de l'Eglise et l'Etat


* Je n'ai pas investigué les éléments de cette poursuite et les tenants et aboutissants de ce verdict de culpabilité. 

Le pape Benoît XVI condamné à 25 ans de prison ainsi que le gouvernement du Canada et la couronne d‘Angleterre pour crime contre l'humanité par la cour de justice de Bruxelles
http://france.revolution.over-blog.com/article-le-pape-benoit-xvi-condamne-a-25-ans-de-prison-ainsi-que-le-gouvernement-du-canada-et-la-couronne-d-115697314.html

Pope, Queen and Canadian Prime Minister found Guilty of Crimes against Humanity and Sentenced to Twenty Five Year Prison Terms
http://itccs.org/

Une plainte en justice contre Joseph Ratzinger
http://www.affaire-ratzinger.com/la-plainte/index.htm

Autre référence (document officiel)
http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/00/1605370700.pdf


Un article du Figaro publié le 14 septembre 2011:

Pédophilie : le Pape accusé de crime contre l'humanité 

Le Vatican ne s'inquiète pas de la plainte déposée à Cour pénale internationale à propos des affaires de pédophilies

Au Vatican, la plainte déposée lundi contre Benoît XVI et trois cardinaux devant la Cour pénale internationale (CPI) par deux organisations américaines de défense de victimes de prêtres pédophiles (SNAP : Réseau des survivants des personnes abusées par des prêtres ; CCR Centre pour les droits constitutionnels) n'impressionne pas.

« No comment » a lâché le Père Fédérico Lombardi, porte-parole du Saint-Siège devant l'épais dossier de 20 000 pages déposé au tribunal de La Haye (Pays-Bas) visant nommément le Pape et les cardinaux Tarcisio Bertone, Angelo Sodano (respectivement actuel et ancien Secrétaire d'Etat, c'est-à-dire, numéro 2 du Vatican) et William Levada (actuel Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi). Ces quatre personnalités sont accusées de « crime contre l'humanité ». Ces deux associations leur faisant implicitement endosser la responsabilité juridique globale de tous les abus sexuels commis par des prêtres sur ces mineurs depuis des décennies. Ils auraient, selon cette plainte, «toléré et rendu possible le camouflage systématique de crimes sexuels contre des enfants».

Le ménage a été fait

Tous les experts juridiques consultés estiment que cette plainte n'a formellement aucune chance d'aboutir car le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) ne peut ouvrir une enquête qu'à la demande d'un Etat ayant ratifié le Statut de Rome (instituant la CPI) ce qui n'est pas le cas du Vatican. De plus, il n'enquête pas contre des personnes mais sur des crimes.

En revanche l'objectif médiatique et symbolique visé par ces organisations qui entament une tournée des capitales européennes qui se terminera à Rome où ils entendent déposer leur dossier au Vatican, est déjà atteint. La presse, italienne en particulier, mais aussi anglo-saxonne, a largement rendu compte de cette opération de communication. Sur le fond, on estime au Saint-Siège, que Benoît XVI a désormais fait le ménage nécessaire pour mettre fin à la culture du silence qui a longtemps prévalue dans la gestion de ces scandales. Cette culture couvrait de manière totalement irresponsable la minorité de prêtres en cause notamment en les déplaçant sans jamais prévenir les autres paroisses du danger.

Le silence pour ne pas faire de publicité

Le tout, au détriment des jeunes victimes. Elles étaient non seulement physiquement et moralement violées mais aussi rejetées pour accusations mensongères ou comportement déloyal vis-à-vis de l'Eglise catholique quand elles osaient révéler ce qui s'était passé. Le cas le plus emblématique étant l'Irlande où cette culture était devenue un véritable système. Connu de presque tous mais étouffé par une chape de plomb institutionnelle. On a aussi conscience à Rome comme l'indique le conflit diplomatique qui oppose actuellement le gouvernement irlandais et le Saint-Siège sur ce même sujet des prêtres et religieux pédophiles, que les plus hauts responsables de l'Eglise catholique n'ont pas fini d'être mis en cause, non plus par des individus mais par des associations ou des gouvernements, pour la gestion passée de ces affaires.

D'où la mise en œuvre récente d'une politique de réponse juridique au coup par coup au plus haut niveau : après le choc qui avait paralysé l'Eglise catholique au cours de l'année 2009 où ne se passait pas une semaine sans que des scandales sortent dans les pays européens, le Vatican est fermement décidé à ne plus rien laisser passer. Et s'il se tient au silence sur la plainte déposée à La Haye c'est qu'il ne veut pas faire de publicité pour ces associations.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/09/14/01016-20110914ARTFIG00528-pedophilie-le-pape-accuse-de-crime-contre-l-humanite.php

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