jeudi 20 septembre 2012

A 1935 US Plan for Invasion of Canada

The following is a full-text reproduction of the 1935
 plan for a US invasion of Canada prepared at the US Army
 War College, G-2 intelligence division, and submitted on
 December 18, 1935.  This is the most recent declassified
 invasion plan available from the US archival sources.
 Centered pagination is that of the original document.  The
 spelling and punctuation of the original document are
 reproduced as in the original document, even when in error
 by present-day norms.

      This document was first identified by Richard Preston
 in his 1977 book, "The Defence of the Undefended Border:
 Planning for War in North America 1867-1939" (Montreal:
 McGill-Queen's University Press.)  Preston's reference
 citation (p. 277) identified this to be archived at the US
 Military History Collection, Carlisle Barracks, Pa., coded
 AWC 2-1936-8, G2, no. 19A.  It was located by the US
 National Archives and supplied on microfilm.

      The military planning context of this document is War
 Plan Red, which was approved in May 1930 by the Secretary
 of War and the Secretary of Navy.  War Plan Red and
 supporting documents are available from the US National
 Archives on microfilm, in the Records of the Joint Board,
 1903-1947, Roll 10, J.B. 325, Serial 435 through Serial
 641.  In War Plan Red, the US Army's theatre of operations
 is defined to be: "All CRIMSON territory" (p.80), and the
 US Army's mission, in bold type: ULTIMATELY, TO GAIN
 COMPLETE CONTROL OF CRIMSON (p. 84).  CRIMSON is the
 colour code for Canada.  In 1934, War Plan Red was amended
 to authorize the immediate first use of poison gas against
 Canadians and to use strategic bombing to destroy Halifax
 if it could not be captured.

      In February 1935, the War Department arranged a
 Congressional appropriation of $57 million dollars to
 build three border air bases for the purposes of
 pre-emptive surprise attacks on Canadian air fields.  The
 base in the Great Lakes region was to be camouflaged as a
 civilian airport and was to "be capable of dominating the
 industrial heart of Canada, the Ontario Peninsula" from p.
 61 of the February 11-13, 1935, hearings of the Committee
 on Military Affairs, House of Representatives, on Air
 Defense Bases (H.R. 6621 and H.R. 4130).  This testimony
 was to have been secret but was published by mistake.  See
 the New York Times, May 1, 1935, p. 1.

      In August 1935, the US held its largest peacetime
 military manoeuvres in history, with 36,000 troops
 converging at the Canadian border south of Ottawa, and
 another 15,000 held in reserve in Pennsylvania.  The war
 game scenario was a US motorized invasion of Canada, with
 the defending forces initially repulsing the invading Blue
 forces, but eventually to lose "outnumbered and outgunned"
 when Blue reinforcements arrive.  This according to the
 Army's pamphlet "Souvenir of of the First Army Maneuvers:
 The Greatest Peace Time Event in US History" (p.2).

      The following document is a declassified public
 domain document and may be freely reproduced.  This should
 be of particular interest to people in the Halifx and
 Quebec City regions, then considered to be the most
 strategic cities in Canada.


http://www.glasnost.de/hist/usa/1935invasion.html

5 commentaires:

  1. cette loi peux s'appliquez aujourd'hui ??

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ça vaudrait la peine de faire quelques recherches sur le site de Justice Canada, peut-être à partir des numéros de loi ou titre de la loi.

      Supprimer
  2. Connaissant les américains, quand ils sentiront le besoin de nous envahir, la loi sera le moindre de leurs soucis. On n'a qu'à penser à la fonte accélérée des glaces dans l'océan Arctique, ça ouvre beaucoup de possibilité pour la navigation, l'exploitation minière, etc. Ils ont l'Alaska, donc tout ça est pour eux en partie.
    Si le Canada ne protège pas assez le grand nord contre les russes par exemple, ils ne nous demanderont certainement pas la permission d'établir des bases militaires dans les Territoires du Nord Ouest.
    Ce n'est qu'un exemple mais il y en a probablement d'autres.

    RépondreSupprimer
  3. Ha la la la, encore des québécois appeurés pas les méchants américains, moi je me sens privilègié de les avoir comme voisin plutôt que les iraniens ou les coréens, et cette idée de penser que les américains nous envahiraient sans se préoccuper des lois me répugne, c'est de ne pas connaître l'histoire que de penser que cela puisse se réaliser un jour par nos voisins, on a éli un gouvernement qui va briser les relations avec le reste du Canada et des USA, je me demande comment on nous perçoit là-bas? J'ai remarqué que nous les québécois aimons tout ce qui nous fait penser que l'on puisse être victime des autres, surtout des américains! je ne peux pas croire qu'on en est encore là. Ils ont décapité avec un sabre un trafiquant de drogue en Iran cette semaine, imaginez si cela était était arrivé aux USA, ce malheureux trafiquant a eu la malchance de pas avoir commis sont méfait au pays de l'oncle Sam! Et non je ne suis pas un colonisé mais fier d'être québécois! Je me souviens

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Résumé du conflit
      C'est au mois de juin 1812 que le président des États-Unis, James Madison, déclare la guerre à la Grande-Bretagne. En fait, dépourvus de marine, les Américains tentent de s'emparer du Haut-Canada et du Bas-Canada par voie de terre. Pour défendre ses colonies, le gouverneur général de l'Amérique du Nord Britannique, Sir George Prevost, ne dispose que de peu de moyens; d'autant plus que la loyauté des habitants est loin d'être assurée. Néanmoins, les Britanniques peuvent compter sur de bons officiers comme le major général Isaac Brock. Ils peuvent surtout s'appuyer sur une alliance autochtone, dirigée par Tecumseh, qui souhaite la création d'un État indien. Certains personnages se sont démarqués, lors de ce conflit; dont Isaac Brock, Laura Secord et Charles-Michel de Salaberry. Cette guerre fait naître des symboles, et a de profondes répercussions pour tous les partis. Certains auteurs attribuent la victoire britannique, de 1812, à l'efficacité de la milice et à l'union des francophones et des anglophones devant un ennemi commun. Elle permet aussi au Canada d'affirmer la loyauté de ses habitants à l'égard de la Grande-Bretagne. Pour les Américains, c'est la Seconde Guerre d'Indépendance. Les vrais perdants de ce conflit sont les Autochtones qui n'ont pu conserver leur indépendance face à l'expansion américaine.

      Le texte ci-haut est extrait de:

      http://www.histori.ca/peace/page.do?pageID=350

      Vous pouvez taper "invasion du Canada en 1812" (exemple) pour faire vos propres recherches à ce sujet.
      Petite remarque en passant: ils n'ont pas perdu de temps ces américains! En 1812, les États-Unis n'avaient pas les 50 états d'aujourd'hui et le Canada n'est devenu un pays que 55 ans plus tard.

      Cette invasion a eu lieu il y a 2 siècles, le contexte a changé bien sûr; voici donc quelque chose de notre époque. S.V.P. regardez cette vidéo, ce n'est pas une nouvelle qui est criée sur les toits mais c'est le vol organisé de notre eau. Si on leur refuse, croyez-vous vraiment qu'ils n'utiliseront pas la force contre nous?

      http://www.dailymotion.com/video/xepzfs_nawapa-visite-guidee-du-new-deal-du_news

      G.I. joke

      Supprimer

Archives du blog

Membres

Qui êtes-vous ?

Rechercher dans ce blog

Articles les plus consultés